Nous dénonçons une nouvelle fois :
– la réorganisation du réseau
– la remise en question du fonctionnement des associations ALPAF, EPAF et AGRAF,
– la vente de 14 des 23 résidences EPAF, entraînant le licenciement de 65 salariés sur 150,
– baisse de la subvention à ALPAF,
– peu de places en crèches.