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  • Posté le 18 février 2013 / 78 visites

Un éclatement géographique de la DGCIS

La DGCIS a, comme Cadet Rousselle, trois maisons : Ivry, Sieyès et Condorcet…
Eclatés géographiquement, les services, qui étaient déjà marqués par un cloisonnement certain, ne se parlent quasiment plus. Il en résulte un fonctionnement en tuyaux d’orgue préjudiciable à ce que devrait être un ministère du redressement productif fluide, agile et imaginatif. Les agents le pensent, l’expriment, le disent, au moins dans les services où on les écoute, il en reste quelques-uns…
Il ne s’agit pas d’une question de confort, mais d’une situation où le sens du management, d’un côté, et, de l’autre côté, du service rendu aux industriels, aux commerçants et aux artisans, semble s’être perdu dans les sables. Interrogé par la CGT sur la pertinence de l’éclatement géographique de la DGCIS et de l’éloignement de Bercy, le Ministre n’a pas jugé utile de répondre. Le nouveau directeur général, Pascal FAURE, est-il conscient de la démotivation de la DGCIS ?

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