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  • Posté le 12 novembre 2018 / 106 visites

CTAC du 9 novembre 2018

A l’ordre du jour :

  • Réorganisation de l’état-major du SG
    Le discours de l’Administration ne change pas et n’est pas plus convaincant que lors des précédentes instances où il a été abordé. Seule chose qui semble claire, et c’est d’ailleurs écrit, cette réforme est liée à AP 2022, ce qui ne présage rien de bon.
    Chose étonnante, en cette période de réduction d’effectifs, le cabinet de la SG se voit renforcé en personnel de catégorie A. Tout le monde n’est donc pas logé à la même enseigne. Les OS proposent, sous forme de provocation, que ce renforcement soit l’occasion de recruter de cadres qui sont actuellement en instance d’affectation.
    Lors de la suspension de séance demandée par FO, en concertation avec la CGT et Solidaires, la CFDT, l’UNSA et la CFTC sont restés dans la salle.
    Abstention unanime des OS.
  • Réorganisation de SRH1
    Cette réforme suit la même logique que celle de l’état-major du SG. Ces réorganisations, présentées par morceaux, sont de la même veine. CAP 2022 se profile très nettement derrière toutes ces réorganisations. De plus, le glissement vers le numérique présenté dans ce dossier n’est pas nécessairement un progrès pour les conditions de travail des agents. Le numérique est en effet souvent synonyme de réductions d’effectifs.
    Abstention : CGT, Sud Centrale, FO, UNSA
    Pour : CFTC, CFDT
  • Réorganisation de SRH3
    Le flou de cette réorganisation, et la pseudo-concertation, nous font voter contre cette réorganisation.
    Contre : CGT, Sud Centrale, FO
    Abstention : CFTC
    Pour : CFDT, UNSA
  • Application du RIFSEEP pour les IEC et les dessinateurs projeteurs
    Abstention : CFTC, Sud Centrale, CGT, UNSA, CFDT Contre : FO
  • Présentation du projet de budget 2019
    Nous dénonçons un budget constamment en régression, qui est à rapprocher avec la politique de réduction d’effectifs.
  • Présentation du bilan social 2017
    Nous déplorons une présentation tardive de documents qui sont pourtant de qualité et qui demandent vraisemblablement beaucoup de travail. Une confection réalisée plus rapidement, si c’est possible, et une présentation plus tôt dans l’année permettraient de tirer un meilleur parti des chiffres présentés.
  • Expérimentation de mutualisation SAFI-SCBM
    Conformément à ce qui avait été demandé en CHSCTC, un bilan sera fait après une année d’expérimentation. Nous espérons que ce bilan sera vraiment le reflet de l’avis des agents. Nous demandons que l’équipe ergonomique soit également réellement associée, car certains agents ont exprimé leurs inquiétudes sur les nuisances possibles liées à l’open-space.
  • Evolution du protocole horaires du SCBCM
    N’ayant eu aucun document en amont, nous demandons le report de ce point.
  • Projet de réorganisation des secrétariats de la DB
    Ce projet fait suite à des observations notées dans le dernier DUERP de la Direction du Budget. Un bilan de cette expérimentation sera fait dans les 6 mois.
  • Questions diverses (pas de documents en instance)
     Adaptation des réseaux DG Trésor à l’étranger
     Mutualisation des effectifs. Diminution de la masse salariale de 10% d’ici à 2020.
     Réduction des implantations.
     Médiateur des entreprises
    Dans le cadre de la loi PACTE, le périmètre d’action du médiateur voit son périmètre d’action élargie. Cependant, il n’y a pas, depuis sa création, de texte d’organisation de ce service. Nous n’avons aucune information sur ce qui se passe dans ce service.
     Dysfonctionnement de la GTA dans SIRHIUS
    Sur les 8000 agents de l’A.C, seuls 5500 agents sont actuellement gérés dans GTA-SIRHIUS. Les autres le sont par E-emptation. L’Administration ne méconnait pas les dysfonctionnements qui se sont produits lors de la bascule dans GTA-SIRHIUS.
    De plus, le fichier des électeurs, issu de Sirhius, n’est toujours pas fiable. Des électeurs n’ont pas leur adresse professionnelle mis à jour.
     Statut du corps des traductrices (et traducteurs)
    L’existence de ce corps est remise en question. Le sujet est traité à la DGAFP. L’Administration précise que sa mise en extinction éventuelle serait cependant sans conséquence pour les agents qui sont actuellement en fonction.
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