Malgré 1,2 million de manifestant-e-s le 31 mars 2016, le Premier ministre ne
veut pas retirer un projet qui prévoit notamment :
· Des accords d’entreprise qui pourront prévoir des droits inférieurs à la loi ou aux conventions collectives de branche
· La possibilité de procéder à des licenciements économiques même quand l’entreprise se porte bien
· Un temps de travail quotidien maximal porté de 10 à 12 h par accord d’entreprise
· La baisse de la majoration des heures complémentaires (de 25 à 10%) pour les temps partiels